•  

                                                         Le seuil de rentabilité<o:p></o:p> 
      
       
    Découlant de la méthode comptable de calcul des coûts partiels, diverses définitions sont données au seuil de rentabilité :<o:p></o:p> 
     
    • Le seuil de rentabilité correspond au volume d’activité pour lequel l’entreprise ne dégage ni perte, ni profit (résultat brut d’exploitation égal à 0) ;<o:p></o:p>
    • Il est atteint quand les coûts fixes sont totalement couverts par les marges sur coûts variables ;<o:p></o:p>
    • Le seuil de rentabilité est aussi appelé chiffre d’affaires critique ou point mort (en anglais, break-even point).<o:p></o:p>
      
    Théoriquement cependant, le point mort est la date à laquelle le seuil de rentabilité est atteint. C’est-à-dire, la date à laquelle toutes les charges fixes sont couvertes. Au-delà de celle-ci, toute unité supplémentaire produite (et vendue) procure 100% de bénéfice à l’entreprise. <o:p></o:p>
      
    L’analyse de la rentabilité des produits a pour but d’aider le gestionnaire à fixer des objectifs pour l’atteinte rapide du seuil de rentabilité. Plus vite il est atteint durant un exercice, plus les chances d’obtenir un meilleur résultat augmentent. <o:p></o:p>
      
    Pour plus de détails sur les termes employés dans le calcul du seuil de rentabilité, je vous recommande de parcourir le glossaire sur les méthodes de calcul des coûts (dans le menu acceuil).<o:p></o:p> 
      <o:p></o:p>
      

    A- Les méthodes de calcul du seuil de rentabilité (SR)<o:p></o:p> 
      
    Avant de passer au calcul du seuil de rentabilité, il convient de distinguer les charges selon deux catégories :<o:p></o:p>
    • Les charges variables. Elles varient en fonction du nombre de produits fabriqué ;<o:p></o:p>
    • Les charges fixes. Elles ne sont pas imputées aux produits. Elles sont cependant couvertes par la somme des marges dégagées par chaque produit fabriqué.<o:p></o:p>
      
      L’analyse de la rentabilité des produits fabriqués se fait à partir des données de base suivantes:<o:p></o:p>
    • Le chiffre d'affaires (CA) prévisionnel par produit. (CA = Prix de vente unitaire x nombre de produits fabriqués et vendus) ;<o:p></o:p>
    • Les charges variables (CV) engendrées par chaque produit. (CV) ;<o:p></o:p>
    • Les marges sur coûts variables (MCV)  par produit. (MCV = MCV unitaire x nombre de produits fabriqués et vendus) ;<o:p></o:p>
    • Le taux de marge sur coûts variables (Taux MCV) par produit. (Taux MCV = (MCV / CA) *100)<o:p></o:p>
    • Les charges fixes (CF). Charges indivisibles.<o:p></o:p>
      
    Le calcul de la contribution de chaque produit à la couverture des charges fixes se fait en retranchant les charges variables (CV) par produit du chiffre d’affaires (CA) par produit. Ce calcul est expliqué dans un tableau dans l’article sur la méthode des coûts partiels.<o:p></o:p>
      <comment title=" Début code Google Adsence " xmlns="http://disruptive-innovations.com/zoo/nvu"></comment> <comment title=" Fin code Google Adsence " xmlns="http://disruptive-innovations.com/zoo/nvu"></comment>  
         
         
         
         
         
         
         
         
         
        
    Le seuil de rentabilité est calculé par produit et peut s’exprimer en quantité (nombre d’unités produites), en devise (unité monétaire), ou en jours (nombre de jour en supposant une production régulière). <o:p></o:p><o:p></o:p>
      
    A1- Calcul du seuil de rentabilité en devises<o:p></o:p>
     
    • A partir du Taux de MCV : SR = CF / Taux MCV<o:p></o:p><o:p></o:p><o:p></o:p><o:p></o:p>
      <o:p></o:p>
    A2- Calcul du seuil de rentabilité en quantité (N)<o:p></o:p>
     
    • Connaissant le seuil de rentabilité en devises : N = SR / Prix de vente unitaire<o:p></o:p>
    • Connaissant <st1:personname productid="la MCV" w:st="on">la MCV</st1:personname> unitaire : N = CF / MCV unitaire (MCV unitaire = Prix de vent unitaire – CV unitaire)<o:p></o:p><o:p></o:p>
      
    A3- Calcul du seuil de rentabilité en jours (Point mort)<o:p></o:p>
      
    Connaissant le CA prévisionnel annuel, le nombre de jours à partir duquel le chiffre d’affaires critique est atteint se calcule selon la formule suivante : <o:p></o:p>
     
    • Point mort = (SR X 360) / CA annuel (ou de la période de calcul choisie)<o:p></o:p><o:p></o:p>
                                                                        <o:p></o:p>
    A4- Détermination graphique du seuil de rentabilité<o:p></o:p>
         <o:p></o:p>
    Dans un repère orthonormé, on place en ordonnée le chiffre d’affaires (CA) et en abscisse les quantités de produits fabriqués et vendus. Les charges fixes et la marge sur couts variables sont les deux éléments qui y seront représentés. <o:p></o:p>
      
    Les charges fixes, qui ont une valeur constante sont matérialisées dans le graphique par une ligne horizontale qui traverse l’axe des ordonnées à un point Y 1 = CF. La marge sur coûts variables (MCV), est matérialisée par une droite dont l’équation est de la forme Y = ax. Où a = MCV unitaire et x = nombre d’unités. Le point d’intersection entre ces deux droites est le seuil de rentabilité (ici, exprimé en quantité). On peut étendre ensuite l’analyse : <o:p></o:p>
     
    • SR en devise = Nombre d’unités x Prix de vente unitaire ;<o:p></o:p>
    • La zone située en dessous du SR est appelée zone de perte. Car les charges fixes ne sont pas encore couvertes en totalité ;<o:p></o:p>
    • La zone située au dessus du SR est appelée zone de profit. Car les charges fixes étant couvertes, toute unité supplémentaire vendue procure 100% de profit.
      
    A5- Calcul de l’indice d’efficience<o:p></o:p>
      
    L’indice d’efficience est le pourcentage du chiffre d’affaires réalisé au delà du seuil de rentabilité.  <o:p></o:p>
                                     <o:p></o:p>
    • Indice d’efficience = (CA de la période - SR)  x 100 / CA de la période                                                  

    B- Quelques avantages et limites du seuil de rentabilité<o:p></o:p> 
      
      
    L’analyse de la rentabilité des produits et particulièrement celle du seuil de rentabilité est une démarche purement prévisionnelle. Les résultats des diverses analyse de coûts sont obtenus sur la base de données estimées qui peuvent plus ou moins se rapprocher de la réalité. <o:p></o:p>
      
    Le seuil de rentabilité permet cependant d’apprécier si un produit est assez rentable ou pas, avec tout ce qu’une telle information peut engendrer comme prise de décision (lancement du nouveau produit,  retrait du marché d’un produit déjà existant,  augmentation de la production et quête de nouveaux marchés …). <o:p></o:p>
      
    Les limites de la méthode sont de diverses natures. Dans cet exercice purement prévisionnel, tous les coûts ne sont pas forcément pris en compte. Cette analyse suppose la régularité des ventes ce qui en réalité n’est pas toujours vraie. Le seuil de rentabilité varie aussi tôt que le prix de vente change. L’augmentation du nombre d’unité produite peut, au delà d’un seuil, provoquer des investissements qui affecteront aussi tôt le résultat. Il ne faut non pas perdre de vue que les ateliers ont tous une capacité de production limité ce qui forcément empêchera en un moment donné le dépassement d’un seuil de production…
     
    OUTGDA Mektar

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  • APPROCHE POOL DE FONDS

     

    I - BILAN "POOL DE FONDS"

    =>! tjrs retraité (Credit Bail, Effet Escompté Non Echu et VMP)


    ACTIF
         Immobilisations industrielles=emploi stable du bilan fonctionnel-immobilisations financieres

         BFR=BFR du bilan fonctionnel -Interet Couru Non Echu -VMP

    EMPLOIS INDUSTRIELS=immobilisations industrielles+BFR

         Participations et prêts=immobilisations financieres

         Emplois monétaires=disponibilités +VMP

    EMPLOIS FINANCIERS=participations et prêts+emplois monétaires

    TOTAL=emplois industriel+emplois financier


    PASSIF
         capitaux propre=total I passif- capital non appelé

         Amort et prov=prov risq et chges+å amort et prov actif+amort Credit Bail

    RESSOURCES PROPRES=capitaux propre+amort et prov

         Dette financiere à LT=dette financiere +VNC Credit Bail

         Dette financiere à CT=Interet Couru Non Echu +Concours Bancaire Courant/Solde Crediteur de Banque

    ENDETTEMENT=å dettes financieres

    TOTAL=ressource propre+endetttement

     

     

    II - BILAN "POOL DE FONDS" (ou Présentation fonctionnelle du capital engagé)

    =>! tjrs retraité (Credit Bail, Effet Escompté Non Echu et Valeur Mobliere de Placement)


    EMPLOIS
    Equipement produticf (Immobilisations corporelles dont Credit Bail)
    +Immobilisation HE
    =Actif immobilisé brut
    +BFRE(dont EENE)
    =capitaux investis
    +BFRHE(sans VMP)
    +Disponibilité (dont VMP)
    å=K engagé

    RESSOURCES
    capitaux propre + Amortissements et provisions(å DAP + ådotation Credit Bail) =Financement propre
    Emprunts(dettes financières sauf Concours Bancaire Courant +(VO CB-å dotations Credit Bail restant à payer)) +Concour Bancaire Courant (dont EENE) = Endettement
    å=K engagé

    OUTGDA Mektar


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  •  

    RATIOS DU BILAN FONCTIONNEL

     

    COUVERTURE DES EMPLOIS STABLES (doit être>1)
    =ressources stables / emplois stables

    COUVERTURE DES CAPITAUX INVESTIS
    =ressources stables / (emplois stables+Besoin en Fond de Roulement d'Exploitation)

    INDEPENDANCE FINANCIERE (doit être<1)
    =endettement (dettes financières+CBC+VNC CB) / ressources propres

    POIDS DU BFRE
    =BFRE / CA HT

    IMPORTANCE DE LA TRESORERIE
    =trésorerie nette / ressources stables

    OUTGDA Mektar


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  •  

    FRNG / BFR / TN

    FRNG=ressources stables (capitaux propres) -emplois stables (immobilisation)
    Le fonds de roulement net global représente la part des ressources stables employée au financement de l'actif circulant


    BFR=actif circulant -dettes à court et moyen terme
    Le besoin en fonds de roulement est généré par les décalages entre les achats, la production, les ventes et leurs règlements 


    Trésorie Nette =Tresorie actif-Tresorie passif = FRNG-BFR
    La trésorerie nette permet l'ajustement entre le Fond de Roulement et le Besoin en Fond de Roulement
    Si FR>BFR : excédent dans la trésorerie à l'actif, sinon nécessité de recourir au crédit bancaire

    OUTGDA Mektar


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  •  

    LE BILAN FONCTIONNEL

    Le bilan fonctionnel est un bilan dans lequel les ressources et les emplois sont classés par fonction (fonctions financement, investissement et exploitation). Il s'établit à partir du bilan comptable avant répartition du résultat (le résultat de l'exercice est donc inclu dans les capitaux propres). Tout comme le bilan traditionnel, il est scindé horizontalement (une partie haute pour les éléments stables, et une partie basse pour les éléments circulants). Mais les termes actif / passif sont remplacés ici par les notions d'emplois / ressources.

    Attention au piège : si l'énoncé propose un bilan après répartition, il faut donc rétablir au préalable le bilan avant réparition du résultat.

    Remarques : 
    · pour l'actif, retenir les valeurs brutes du bilan comptable,
    · si le sujet d'examen ne le demande pas, inutile de séparer exploitation / hors exploitation.

    Attention : ne pas confondre les notions de « stable / circulant » (qui correspondent ici à l'engagement sur le long terme ou court terme de l'entreprise au moment de l'opération) avec les notions de « long terme / court terme » du bilan financier (qui correspondent à l'engagement sur le long terme ou court terme de l'entreprise au moment de l'établissement du bilan).

    Structure du tableau

    Emploi Montans Ressources Montans

    Immobilisations d'exploitation
    Immobilisations hors exploitation

    Emplois stables

     

    Financements propres
    Dettes financières

    Ressources stables

     

    Stocks
    Avances et acomptes versés
    Créances d'exploitation
    Créances hors exploitation
    Trésorerie active

    Total

     

    Avances et acomptes reçus
    Dettes d'exploitation
    Dettes hors exploitation
    Trésorerie passive
     

    Total

     

    Détail des emplois

    Immobilisations d'exploitation brutes
    = Frais d'établissement
    + Frais de recherche et développement
    + Concession, brevets, licences, marques
    + Fonds commercial
    + Autres immobilisations incorporelles
    + Terrains
    + Constructions
    + Installations techniques, matériels et outillages industriels
    + Autres immobilisations corporelles
    + Valeur à neuf des biens pris en crédit-bail (voir annexe)
    + Charges à répartir sur plusieurs exercices (sauf si l'énoncé précise qu'elles sont hors exploitation) (1) .

    1. il existe deux autres approches :
    · pour l'une il ne faut inclure que le montant brut des charges à répartir,
    · pour l'autre il ne faut pas inclure les charges à répartir (donc les retirer des capitaux propres en ressources).

    Immobilisations hors exploitation brutes

    = Capital souscrit non appelé (part du compte 109 appelable à plus d'un an (1) ),
    + Avances et acomptes versés,
    + Immobilisations en cours,
    + Immobilisations financières (montant brut du bilan),
    + Charges à répartir sur plusieurs exercices (si l'énoncé précise qu'elles sont hors exploitation),
    + Part des écarts de conversion actif (ECA) liée aux prêts accordés par l'entreprise,
    - Part des écarts de conversion passif (ECP) liée aux prêts accordés par l'entreprise,
    - Les intérêts courus sur prêts accordés par l'entreprise (portés en créances hors exploitation).

    1. Si l'énoncé ne précise pas l'echéance, inscrire ici le capital souscrit non appelé en totalité.

     

    Les emplois stables comprennent donc :
    = Toutes les immobilisations (montant brut du bilan),
    - Les intérêts courus sur prêts accordés par l'entreprise (portés en ACHE),
    + Valeur à neuf des biens pris en crédit-bail (voir annexe),
    + Charges à répartir,
    + Part du compte 109 appelable à plus d'un an
    + Part des écarts de conversion actif (ECA) liée aux prêts accordés par l'entreprise
    - Part des écarts de conversion passif (ECP) liée aux prêts accordés par l'entreprise

    Stocks = stocks du bilan comptable (en valeur brute)

    Avances et acomptes versés sur commande
    = Avances et acomptes versés sur commande (voir bilan)
    + Part des écarts de conversion actif (ECA) liée aux avances et acomptes versés (voir renvois/annexe)
    - Part des écarts de conversion passif (ECP) liée aux avances et acomptes versés (voir renvois/annexe)

    Créances d'exploitation
    = Créances clients et comptes rattachés (voir ligne BX du bilan comptable)
    + Autres créances (voir bilan comptable) (1) 
    + Charges constatées d'avance (voir bilan; voir dans l'annexe si une part n'est pas hors exploitation),
    + Effets escomptés non échus (EENE, voir annexes / renvois)
    + Part des écarts de conversion actif (ECA) liée aux créances d'exploitation (voir renvois/annexe)
    - Part des écarts de conversion passif (ECP) liée aux créances d'exploitation (voir renvois/annexe)

    1. Ne retenir que les "autres créances" d'exploitation :
    · si on dispose du bilan de base, voir renvois, annexes et/ou extrait n°2057,
    · si on dispose du bilan développé, les autres créances sont des créances d'exploitation (les créances hors exploitation étant portées en "créances diverses").

    Créances hors exploitation
    = Autres créances (1) ou créances diverses selon le bilan (voir bilan comptable),
    + Capital souscrit non appelé : part du compte 109 appelable à plus d'un an (2) (voir renvois / annexe),
    + Valeurs mobilières de placement - VMP (3) (voir bilan)
    + Charges constatées d'avance (si l'annexe précise qu'une est hors exploitation),
    + Part des écarts de conversion actif (ECA) liée aux créances hors exploitation (voir renvois/annexe)
    - Part des écarts de conversion passif (ECP) liée aux créances hors exploitation (voir renvois/annexe)
    + Les intérêts courus sur prêts accordés par l'entreprise (soustraits des immobilisations hors exploitation)

    1. Ne retenir que les autres créances hors exploitation :
    · si on dispose du bilan de base, elles sont confondues aux autres créances d'exploitation ligne "autres créances". Voir détail en renvoi, annexe et/ou dans l'extrait n°2057,
    · si on dispose du bilan développé, les autres créances hors exploitation sont portées ligne "créances diverses".
    2. Si l'énoncé ne précise pas l'echéance, inscrire le capital souscrit non appelé en « actif immobilisé hors exploitation »
    3. Attention : sauf si l'annexe précise que les VMP sont disponibles rapidement (liquides). Dans ce cas, les VMP seront inclues en « trésorerie active » avec les disponibilités.

    La trésorerie active
    = Disponibilités (banque, caisse, CCP),
    + Eventuellement les valeurs mobilières de placement (voir remarques en « créances hors exploitation » ).

    Détail des ressources

    Financements propres
    = Capitaux propres (1) (voir bilan),
    + Avances conditionnées (2) (ligne DN du bilan, dans les « autres fonds propres » ),
    + Provisions pour risques et charges du bilan comptable,
    + Somme des amortissements et provisions de l'actif (total du bilan et/ou extrait n°2055),
    + Somme des amortissements cumulés des biens pris en crédit-bail,
    + Compte 109 
    + Charges à répartir sur plusieurs exercices

    1. Dont dividendes : le bilan fonctionnel doit être établi à partir d'un bilan avant répartition du résultat. Si on dispose du bilan avant répartirion, il faut ajouter le montant des dividendes aux capitaux propres !
    2. Les avances conditionnées peuvent être à inscrire en « dettes financières ». Voir si l'énoncé apporte des précisions.

    Dettes financières 
    = Avances conditionnées (1) (ligne DN du bilan, dans les « autres fonds propres » ),
    + Emissions de titres participatifs (ligne DM du bilan, dans les « autres fonds propres » ),
    + Emprunts obligataires convertibles (ligne DS du bilan),
    + Autres emprunts obligataires (ligne DT du bilan),
    + Emprunts auprès des établissements de crédit (ligne DU du bilan),
    + Emprunts et dettes financières divers (ligne DV du bilan),
    + Crédit-bail non encore amorti (2) ,
    + Part des écarts de conversion passif (ECP) liée aux emprunts et dettes financières divers (voir renvois/annexe),
    - Part des écarts de conversion actif (ECA) liée aux emprunts et dettes financières divers (voir renvois/annexe),
    - Primes de remboursement des obligations (3) (ligne CM de l'actif du bilan),
    - Concours bancaires et soldes créditeurs de banque (CB et SCB) (voir renvois (4) / annexe),
    - Intérêts courus non échus (voir renvois des postes d'emprunt / annexe),
    + (si bilan développé) Part des comptes courants créditeurs à long terme (5) ,
    - (si bilan de base) Part des comptes courants créditeurs à court terme (5) ,

    1. Les avances conditionnées peuvent être à inscrire en « Financements propres » ou en« Dettes financières ». Voir si l'énoncé apporte des précisions.
    2. Valeur à neuf - somme des amortissements portée en « Financements propres » ci-dessus.
    3. N'ayant pas repris ce poste de l'actif en ressources, il faut le retrancher du passif pour équilibrer le bilan !
    4. Voir plus exactement les renvois des lignes DU (emprunts auprès des établissements de crédit) et DV (emprunts et dettes financières divers).

    5. La part à court terme (moins d'un an) des comptes courants (compte 455) doit être inclue en « trésorerie passive » et la part à long terme en « dettes financières » :
    · dans le bilan de base, la totalité est portée à la ligne « emprunts et dettes financières divers » , déjà prise en compte ici, c'est pourquoi il faut soustraire la part à court terme, 
    · dans le bilan développé, la totalité est portée à la ligne « autres dettes » , non prise en compte ici, c'est pourquoi il faut ajouter la part à long terme.

    Les ressources stables comprennent donc :
    = Capitaux propres
    + Autres fonds propres 
    + Provisions pour risques et charges
    + Amortissements et provisions de l'actif
    + Dettes financières *
           * hors CBC, soldes créditeurs de banque portés en trésorerie
           * et hors intérêts courus non échus portés en DHE

    Avances et acomptes reçus sur commande
    = Avances et acomptes reçus sur commande (voir bilan)
    + Part des écarts de conversion passif (ECP) liée aux avances et acomptes reçus (voir renvois/annexe)
    - Part des écarts de conversion actif (ECA) liée aux avances et acomptes reçus (voir renvois/annexe)

    Dettes d'exploitation
    = Dettes fournisseurs et comptes rattachés (voir ligne DX du bilan comptable),
    + Dettes fiscales et sociales (voir ligne DY du bilan comptable),
    - (si bilan de base) Impôts sur les bénéfices (1) ,
    - (si bilan de base après répartition) Dividendes à payer (2) , 
    + Part des « Autres dettes » (ligne EA du bilan) liée à l'exploitation (voir renvois / annexe / extrait n°2057),
    + Produits constatés d'avance (voir bilan; voir dans l'annexe si une part n'est pas hors exploitation),
    + Part des écarts de conversion passif (ECP) liée aux fournisseurs (voir renvois/annexe),
    - Part des écarts de conversion actif (ECA) liée aux fournisseurs (voir renvois/annexe),
    - Obligations cautionnées (3) (voir renvois / annexe / extrait n°2057)

    1. Dans un bilan de base, l'impôt sur les bénéfices (dette hors exploitation) est inclu dans les « Dettes fiscales et sociales » , prises en compte ici . Il faut donc retrancher son montant.
    Notez qu'il existe une ligne « Impôts sur les bénéfices » dans l'extrait n°2057 (ligne VM).
    2. Comme étudié ci-dessus, les dividendes doivent être portés en « Financements propres ». Si on dispose d'un bilan de base et après répartition, les dividendes sont avec les « Dettes fiscales et sociales » . Il faut donc les retrancher ici.
    3. Les obligations cautionnées (comprises dans les « Dettes fiscales et sociales » ) doivent être portées en « Trésorerie passive » . Il faudra donc les retrancher ici.
    Notez qu'il existe une ligne « Obligations cautionnées  » dans l'extrait n°2057 (ligne VX)

    Dettes hors exploitation
    = Dettes sur immobilisations et comptes rattachés (voir ligne DZ du bilan comptable),
    + Part des « Autres dettes » (ligne EA du bilan) liée au hors exploitation (voir renvois / annexe / extrait n°2057),
    + Produits constatés d'avance (si l'annexe précise qu'une est hors exploitation), 
    + (si bilan de base) Impôts sur les bénéfices (1) ,
    - (si bilan développé après répartition) Dividendes à payer (2) , 
    - (si bilan développé) Part des comptes courants créditeurs (voir remarques en « Dettes financières » ) ,
    + Intérêts courus non échus (voir renvois des postes d'emprunt / annexe),
    + Part des écarts de conversion passif (ECP) liée aux dettes hors exploitation (voir renvois/annexe),
    - Part des écarts de conversion actif (ECA) liée aux dettes hors exploitation (voir renvois/annexe),

    1. Dans un bilan de base, l'impôt sur les bénéfices (dette hors exploitation) est inclu dans les « Dettes fiscales et sociales » . Il faut donc ajouter ici son montant (retranché ci-dessus, dans les dettes d'exploitation).
    Notez qu'il existe une ligne « Impôts sur les bénéfices » dans l'extrait n°2057 (ligne VM).
    2. Comme étudié ci-dessus, les dividendes doivent être portés en « Financements propres ». Si on dispose d'un bilan développé et après répartition, les dividendes sont avec les « Dettes diverses » . Il faut donc les retrancher ici.

    Trésorerie passive
    = Concours bancaires et soldes créditeurs de banque (CB et SCB) (voir renvois (1) / annexe),
    + Effets escomptés non échus (EENE, voir annexes / renvois)
    + Obligations cautionnées (2) (voir renvois / annexe / extrait n°2057)
    + Part des comptes courants créditeurs à court terme (3) ,

    1. Voir plus exactement les renvois des lignes DU (emprunts auprès des établissements de crédit) et DV (emprunts et dettes financières divers).
    2. Dans le bilan comptable, les obligations cautionnées sont comprises dans les« Dettes fiscales et sociales » . Elles ont donc été retranchées des dettes d'exploitation (voir ci-dessus) et doivent être ajoutées ici.
    Notez qu'il existe une ligne « Obligations cautionnées  » dans l'extrait n°2057 (ligne VX).

    3. Voir remarques en « Dettes financières » . Rappel : cette part des comptes courants créditeurs à court terme est retranchée soit des « Dettes financières » (si bilan de base) soit des « Dettes hors exploitation » (si bilan développé).

    SYNTHESE

     

    EMPLOIS STABLES
    =actif immobilisé brut(total I)- capital souscrit non appelé +charges à répartir [+VO Credit Bail]

    ACTIF CIRCULANT D'EXPLOITATION
    =stocks et créances +avances et acomptes versés+charges constatés d'avances si E [+EENE]
    !ECA et ECP

    ACTIF CIRCULANT HORS EXPLOITATION
    =autres créances+VMP+capital souscrit appelé non versé+intérêts courus/prêts [-VMP]

    TRESORERIE ACTIF
    =disponibilités [+VMP] 

    RESSOURCES STABLES
    =å capitaux propres(total I)- capital non appelé +provision pour  risques et charges+å amortissement et provisions actif [+amort CB] (=RESS PROPRES)+dettte financiere-CBC/SCB-ICNE [+VNC CB]

    PASSIF CIRCULANT D'EXPLOITATION
    =dettes fournisseurs+dettes fiscales et sociales -I S+ avances et acomptes reçu + produits constaté d'avance si E

    !ECA et ECP

    *PASSIF CIRCULANT HORS EXPLOITATION
    =dettes sur immo+autres dettes + IS + Interet Couru Non Echu /emprunt

    TRESORERIE PASSIF
    CBC/SCB[+EENE]

    II - LES RETRAITEMENTS (CB,EENE,VMP)

    Credit Bail CB
    Immos brutes:+valeur actuelle
    Amortissement + total des dotations cumulées
    Dette financiere:+VNC

    Effet Escompté Non Echu EENE
    Client effet à recevoir: + effets escomptés non échus
    Total passif: + effets escomptés non échus

    Valeur Moblière de Placement VMP
    Actif Hors Exploitation :-VMP
    Total actif +VMP

    => INCIDENCES
    Fond de Roulement Net Global => pas de changement
    Besoin en Fond de Rourlement => +EENE-VMP
    Tresorie Nette  => +VMP-EENE

    OUTGDA Mektar


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